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de Scarecrow
Biographie de Scarecrow
Des complaintes nées au début du 19ème siècle dans les champs de coton américains, aux sons urbains des métropoles trépidantes du 21ème siècle, le quartet improbable propose une synthèse excitante.
Guidés par l'épouvantail qui les représente, ils rendent hommage aux mouvements fondateurs tout en contournant leurs codes, ramenant le blues à la sueur et le hip hop à ses racines instrumentales.Sur scène, Slim Paul -guitariste/bluesman- et Antibiotik Daw -scratcheur/rappeur- confrontent les générations dans un exercice de style périlleux: mêler deux langues, deux cultures et deux instruments que rien n'attirait, avec pour trame de fond le basse/batterie enivrant de Jamo et le Pap's.
Avec son grain de composition unique et ses performances tonitruantes, les quatre toulousains -galvanisés par 300 concerts dans 10 pays- reprennent la route en 2014, accompagnés d'un nouveau projet discographique!
"Evil & Crossroads" en téléchargement sur blueshiphop.bandcamp.com
Actualité de Scarecrow
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Vidéos de Scarecrow
Liste des albums de Scarecrow
Avis sur Scarecrow
Samedi soir, dans la superbe salle du Bikini à Toulouse, il y avait les 20 ans de scène de Mouss et Hakim (Zebda, Motivés, 100 % Collègues), avec surtout le retour de Zebda après des années d’absence, plus en forme que jamais. 2 h 50 de concert à sauter partout et à taper des mains, ça nous change des jeunes blancs-becs qui jouent une heure et quart.
Le truc, c’est que j’ai vu quelque chose d’hallucinant avant. C'est vrai que souvent, elles craignent un peu les premières parties. On les écoutent d'une oreille distraite en discutant, accoudé au bar. Je suis arrivé à la bourre, et je suis allé directement chercher des mousses, au bar situé en face de la scène. J'écoutais vaguement le truc quand un solo de trompette bien jazzy a attiré mon attention. « Mais c’est quoi, ça ? ». Y’avait pas que de la trompette, y avait aussi du scratch là-dedans. Je me suis rapproché de la scène et j'ai pris une bonne baffe, même si je n'en ai profité que de quelques titres.
Le groupe s’appelle Syncopera, 4 Toulousains ou du coin.
Ils font une musique vachement originale, mélange de blues et de... hip-hop. Plus habitué aux riffs du blues qu'aux tourne-disques (turntables, comme on dit), même si j'avais bien accroché il y a longtemps au premier album des bataves d'Urban Dance Squad, j'ai été épaté par le truc. Le mec aux platines fait des trucs hallucinants, les bases guitare, basse et batterie envoient du bois et groovent comme il faut, et le chanteur a une voix chaude, un peu éraillée, blues quoi.
Ca faisait longtemps que j'avais pas vu un truc énorme comme ça, avec les poils qui se dressent et tout le bazar.
Je crois qu'ils devraient tourner pas mal en 2011. C’est vraiment un truc à voir.
Philippe