PLACEBO

A part la moustache, j'adore ;) Superbe album je ne m'en lasse pas.

22/04/2017 - ZENITH DE DIJON
20h54, les lumières s’éteignent, et c’est le grand écran central qui prend le relais, avec la diffusion du clip d’Every You Every Me, un grand classique de Placebo, suivi d’une rétrospective rapide des 20 ans de carrière des britanniques. Qui dit tournée anniversaire dit tournée de fans. Et forcément, cela peut déstabiliser les spectateurs surtout adeptes des tubes du groupe. Car hormis Pure Morning, qui a lancé le set de brillante manière, Special Needs, single issu de Sleeping With Ghosts, et Twenty Years, présentée dans une nouvelle version, il aura fallu attendre une bonne heure et quart pour entendre les hits – soit la fin de la partie « mélancolique », dixit Brian Molko -. For What It’s Worth, Slave To The Wage, Special K, Song To Say Goodbye et The Bitter End font danser une bonne partie du zénith, avant deux rappels survitaminés, composés de Teenage Angst, Nancy Boy, Infra-Red et Running Up That Hill.

En tant que grand fan de Placebo, j’ai forcément apprécié la setlist, même s’il s’agissait de la même que celle qui était déjà proposée lors du premier leg de la tournée française. Quant à la prestation, elle fut fort satisfaisante, grâce, notamment, à un Brian Molko en forme et visiblement heureux d’être là. Les premiers rangs de la fosse, particulièrement réceptifs, ont apprécié les lignes de basse ainsi que les riffs de guitare inspirés de Stefan Olsdal, sans oublier l’excellent travail de Fiona Brice, qui avec ses arrangements de violon, donne encore plus de profondeur à l’ensemble. Matt Lunn, Nicolas Gavrilovic et Bill Lloyd ont, eux aussi, fait le job, mais il est regrettable de ne pas les voir plus se mettre en avant. Les plus critiques pourront aussi reprocher au groupe de trop enchaîner les titres, sans vraiment prendre le temps de communiquer avec l’auditoire. En ce qui me concerne, c’est une vive satisfaction, car les dernières tournées furent moins convaincantes.

« Soyez les bienvenus à notre fête d’anniversaire ! » lance l’infatigable Brian Molko. Après un émouvant hommage à notre cher Leonard Cohen disparu en novembre dernier sur « Who by Fire », et une partie de poker exclusive sur « Every You Every Me », le chanteur fait son apparition sur scène.

Pour l’accueillir, 20 000 personnes : l’AccorHotels Arena est pleine à craquer.
Sacrée fête d’anniversaire.

Le show commence sur un électrique « Pure Morning », premier morceau d’un concert qui partage.
Placebo alterne entre ses tubes énergiques comme « Too Many Friends », et indémodables comme « Protège Moi » dans le parfait français de Molko, et des raretés. Quelques flottements et étrange malaise dans la salle pour leurs derniers morceaux. Le public se réveille pour les classiques du groupe et n’hésite pas à se montrer passionné quand il s’agit de danser sur « Space Monkey » après la partie mélancolique du concert, « For What It’s Worth », le fameux « Special K » sur scénographie psychédélique ou « Without You I’m Nothing » où la voix de David Bowie manque beaucoup.

Enfin une sublime version de « The Bitter End » vient clore la première partie du concert. Les flashes de téléphones remplacent les briquets dans le public qui attend son rappel. Et quel rappel ! Une excellente version de « Teenage Angst », le magistral « Nancy Boy » joué sur une guitare aux couleurs du drapeau LGBT en conséquence et enfin « Infra-Red » sur lequel s’anime en fond une des dernières œuvres de l’artiste britannique Antony Micallef : Trump sur un paquet de cigarettes « Trump seriously harms you and others around you. » On retrouve alors l’engagement politique du groupe ; qui nous quitte une deuxième fois avant de revenir pour une dernière reprise : « Running Up That Hill » de Kate Bush.

Le public quitte la salle partagé entre satisfaction et déception des plus vieux fans qui trouvent leurs tubes un peu « expédiés ». Grand show toutefois, l’énergie communicative de Bercy reste quant à elle inchangée.

Pauline Jabes.

A l'occasion des 20 ans de carrière du leur groupe, Molko et Olsdal nous ont offert un spectacle assez exceptionnel le mardi 29 novembre 2016 à Bercy.
Et ça a été une claque.
Bien que le groupe soit toujours un peu stoïque sur scène, les performances musicales sont incroyables : tout est en place, tout le monde se donne à fond, et chaque membre sur scène est mis en valeur. Les morceaux les plus connus ont eu le droit à un réarrangement spécial 20 ans.
Pour la setlist, nous avons eu le droit aux classiques : The Bitter End, Infra Red; à la nostalgie : special K, Nancy Boy, Pure Morning; à des raretés : Lazarus, I Know; et à des perles que je n'avais jamais espéré entendre en live : Without You I'm Nothing, Space Monkey, et j'en passe. Un concert donc rétrospectif et bouleversant, je pense à l'hommage à Leonard Cohen et à David Bowie.

Sûrement le meilleur concert que j'ai vécu jusqu'à lors.

Concert du 29 novembre 2016 à Paris : Plus de 2h de concert ! Et ils n'avaient pas menti, nous avons effectivement eu le droit à des chansons comme Pure Morning. Ils ont bien balayé leur 20 ans de carrière en nous offrant leur meilleurs tubes !

depuis 20 ans le groupe Placebo est en tournée !!!!

Concert à Paris Bercy ce 10 dec 2013, je ne dirai qu'un mot : GENIAL
une super ambiance, une musique toujours aussi extra, j'ai adoré. Je retournerai sans probleme a un de leur concert.

Déçue, profondément déçue et furax. Payer une place de concert pour se retrouver devant une chaine hi-fi.

Je n'avais pas cru ce qu'on me disait à propos de leurs concerts, je pensais qu'ils ne se donnaient pas la peine peut-être parce que c'était une petite salle, mais là j'en ai eu confirmation..

Hier à Anvers, devant 15 000 personnes

Arrivés sur scène, pas un seul mot, après la 6eme chanson on a droit à un petit merci, puis c'est tout. Les voilà qui continuent à enchainer les chansons. Brian Molko en véritable je m'en foutiste, ne regardait même pas le public.Si j'aurais été tout devant je lui aurais surment balancé quelque chose à la figure..

On est parti avant la fin, plutôt fâchés par ce manque de gratitude envers les gens qui avaient payé leur place.


Voilà je continue tout de même à apprécier leur musique, mais je n'irai plus jamais les voir en concert..

Ravi de les avoir revu au Transbordeur, après les avoir vu à la Halle Tony Garnier !
L'avantage du Transbordeur étant la proximité avec le groupe, ils ont déchiré !

Le 26/07/2006 - juans les pins la pinede.
bravo,bravo,bravo,j'adore vraiment,ils donnent la peche, il ne chante pas faux,ils sont fantastique, dommage pour la durée du concert. je crois que je suis amoureuse....